Joël Espié, Il raconte : « Je plonge dans le révélateur et le fixateur à l’âge de 15 ans. Autodidacte, j’apprends seul puis je fréquente à Castres l’atelier de Roland Laboye (prix Niepce 77 et voir le texte de Jean-Paul Fargier). Depuis les années 80, j’ai contracté le virus du voyage, et je parcours le monde pour fixer sur la pellicule l’humain dans toute sa richesse et son rayonnement. L’évolution de l’image avec l’arrivée du numérique, ne m’empêche pas de rester fidèle à ma démarche, celle d’une photographie qui doit être pensée, réfléchie dès la prise de vue»