Jean-Gabriel Cosculluela, né en 1951 à Rieux-Minervois (Aude), vit en Haute-Ardèche, après avoir vécu plus de quinze ans à Montpellier et dans les Cévennes. Conservateur en chef des bibliothèques, écrivain, traducteur de l’espagnol. Egalement commissaire d’expositions. Editeur, il co-dirige la collection Espaces de peu aux éditions Atelier des Grames. Il prépare l’édition d’inédits de Joë Bousquet, il vient de co-diriger un dossier sur cet auteur dans le n°1135-1136 (novembre-décembre 2023) de la revue Europe. Il ne cesse d’écrire et de publier en collaboration avec des artistes. Parmi ses derniers livres, on peut citer Partita (éd. Voix, 2018) avec des peintures de Hélène Peytavi, Nouer (éd. Color Gang, 2018) avec des gravures d’Yves Olry, La Peinture continue (éd. Fabelio / Archipel Butor, 2020) avec des peintures d'Anne Slacik, Retournons voir l'invisible suivi de A l'œil nu, accueillons les formes d'avant le jour (éd. Voix, 2021) avec des peintures de Serge Fauchier, Le Livre se livre nu suivi de Beaucoup de bruit pour rien & (éd. Voix, 2021) avec des encres de Richard Meier, Vida : suite pour Roger Laporte (éd. Artgo & Cie, 2023) avec un dessin d'Anne-Marie Pécheur. Vient de publier en 2024 : Sobrarbe (éd. Propos Deux) avec des peintures de Christian Sorg, Nuidité du noir : dialogue avec les outrenoirs de Pierre Soulages (éd. L' Étoiles des limites) avec quatre outrenoirs. Il a fait des séjours à plusieurs reprises dans la Montagne Noire à Castans, Caudebronde, Saint-Denis, tout près de La Galaube où venait Joseph Delteil chaque été.